Femme Bcbg, Escorte, Non, Pute… (93)

Nous avons regardé les scènes tournées avec Océane et Georges.

Pour finir la soirée, Jacky démarre le CD porno que j’ai acheté cette après-midi ou je retrouve Tof avec ses deux copains filmé par Johnny et certainement Audrey.
Océane s’endort dans mes bras avant la fin de cette cassette X ou mon hardeur à une seule couille me fait cocu allègrement.
Je la réveille doucement et nous montons nous couchés, Océane entre moi et Virginie qui nous a rejoints.

Comme les jours précédents, je me réveille après minuit, j’aime me promener dans la nuit sur ma terrasse, regarder la ville dormir, voir les fenêtres encore éclairées.
Derrières ces fenêtres, j’imagine des femmes les jambes écartées se faisant labourer par les hampes qu’elles ont ramenées de leur boîte de nuit.
J’aime me souvenir de cette jolie fille que j’ai vue passer sur la plage et pour laquelle j’ai flashé sur ses seins nus fièrement perchés haut sur son torse.
Pensé à celle enculée en levrette par son beau-frère pendant que sa sœur se fait brouter la minette par un amant dragué sur la plage dans la journée.
Généralement, quand je délire comme cela et que je reprends pied sur terre, je trouve plusieurs de mes doigts au fond de ma vulve.

Ce soir, mon but est différent de celui-là, je sors et traverse la nuit.
J’ai pris le temps d’enfiler mon timbre-poste qui me fait office de maillot de bain.
À y bien réfléchir je viens surveiller si ma petite Katia est restée chaste ou traîne encore vers les petites.
Mes craintes sont renes lorsque j’arrive à l’arrière et que la porte est entrouverte.
Craignant un rôdeur, sans bruit j’entre, mais quand je passe devant la cuisine j’entends une voix qui parle en chuchotant.

• Te voilà, je t’attendais !

À la lumière blafarde de la lune, je reconnais Guy le papa de Katia.
Cette fraction de seconde où je le reconnais m’évite de pousser un cri.


Il passe derrière moi et ferme la porte.

Il avance vers moi, je me trouve coincé les fesses sur le bord de la table.

• Christine, depuis deux ans que tu nous as confié l’entretien de ta maison, j’ai une envie folle de te prendre dans mes bras et de te faire l’amour.
Quand tu es venue me voir pour parler de ma fille, tu as réveillé mon envie.
Hier au soir, j’ai entendu des chuchotements dans le jardin la fenêtre de notre chambre étant ouverte pour faire entrer un peu de fraîcheur, je suis descendu et j’ai constaté que tu parlais à ma fille assise sur les chaises du salon de jardin, j’ai pensé que ce soir tu reviendrais.

Il fait un pas en avant et me prend par les bras.
Panique, que faire, il baisse son maillot et me présente dans la pénombre une verge de belle proportion.
Panique, que faire, si je résiste respectera-t-il sa parole pour que j’emmène Katia si je le braque !

• Je veux bien que nous baisions mais à une seule condition !
• Laquelle, accepté d’avance.

Il tient sa bite comme s’il approchait un poignard de ma vulve.

• Vous me baisez une fois pour satisfaire votre fantasme et après vous retourner vers Lison et jamais nous ne recommencerons !
• Je suis d’accord, tu es si bandante.

Sentant que je suis prête à céder sans plus de retenue, il me prend par l’épaule et me retourne, me plie afin que mes seins reposent sur la table et avec son pied il m’écarte les jambes pour dégager ma vulve.
Au moment où il va me poignarder des images sont envoyées à mon cerveau, je vois les seins sur la table de la maman de Jacky au moment où mon père l’a sodomisé.
Ouf j’arrive à effacer cette image et quand Guy me pénètre, c’est bien sa bite qui éclate ma chatte.
Il m’appuie sur les reins pour que je me cambre au maximum.
Le salop, il sait se servir de sa pine, il me ramone juste à la bonne vitesse pour me faire partir, il se penche et je sens son souffle sur ma nuque.

Il gobe même une de mes oreilles qu’il mordille légèrement.
Une nouvelle fois ça y est, il réussit, la boule que j’aime sentir monter du fin fond de mon ventre est là.
Au moment où elle éclate, il a juste le temps de me museler avec sa main car mon cri aurait réveillé toute la maison.

• J’aimerais t’enculer.

La pression sur ma bouche cesse.

• Oui.

Il quitte ma chatte et entre directement dans mon anus.
Que cet homme est diabolique avec sa queue.
Comme pour ma chatte le rythme qu’il inflige à mon cul est à la vitesse idéale pour moi.
Virile pour me faire voir qui est le maître de notre coït et assez doux pour laisser monter mon plaisir crescendo.
Il finit par réussir ce que peu d’hommes ont réussi depuis que j’ai décidé de jouer de mon corps avec le maximum de partenaire, j’éclate par le cul, mes muscles se tendent et se détendent sans que je puisse les contrôler.
Ma chatte dégouline de cyprine.
Mes seins frottent sur la table usée par les années.
Mes seins qu’il saisit de ses deux mains et qu’il tire pour envoyer sa pine plus loin dans mon fondement.
Je dois le reconnaître, la boule qui est revenue éclate, je reçois la plus grande jouissance anale depuis le début de ma vie.
Il m’inonde et tombe son torse sur mon dos.
Environ une minute après, il est toujours fiché dans mon cul, il a à peine légèrement débandé.
J’arrive à m’écarter non sans une dernière fois frotter mes seins sur cette maudite table qui a marqué les étapes de ma vie.
Guy veut me prendre dans ses bras et m’embrasser.

• Non respectez le contrat !

Il relève son caleçon et quitte la pièce, j’ai bien fait d’être cassante car j’ignore si après les sommets qu’il m’a fait atteindre, une deuxième rasade nous ferais basculer du côté sombre d’une relation extra conjugale.

Fatigué de la partie de jambe en l’air j’évite de monter à l’étage et je retourne dans notre chambre.

En m’allongeant je sens de suite, que ma grande a pris son plaisir avec Océane je le sens car les draps sont imprégnés des jets que Virginie a dû lui envoyer au visage.
Océane a dû découvrir ce qu’est une femme fontaine.
Quand Océane sent ma présence elle se tourne et m’enlace, j’avance ma bouche et au moment de l’embrasser, j’aperçois dans la lune quelques gouttes posées sur sa joue.
Je passe ma langue sur tout son visage et lui fait carrément sa toilette.

Grand jour ce matin, nous partons tous au zoo à la Palmyre.
Le soleil est de la partie, je vais éviter les clichés parlants des tigres, des gorilles et des otaries ainsi que le spectacle des perroquets.
Pour faire court, la journée est radieuse, les animaux dans leur cadre naturel sont magnifiques et le repas du midi au resto du zoo plein de bonne humeur.
Enfin Sindy est émerveillée et voudrait tous les attr.
Nous sortons du zoo et pour nous reposer, tout en nous rafraîchissant les fesses dans l’eau nous rejoignons la plage naturiste.
Notre majordome Alain a emmené un ballon de volley.
La fin d’après-midi se finit d’une manière agréable.
Le soir, nous partons sagement manger des sucettes.
Katia a emmené la petite dans la poussette où elle dort dès qu’elle roule.
Tout le monde au lit, les kilomètres parcourus sous la chaleur et la partie de volley ont raison de ma bande de baiseurs et surtout la soirée de demain rend l’atmosphère tendue, comme si tous craignaient les orientations et les décisions qu’ils ont prises.
Virginie me quitte et rejoint Odile et Alain dans leur chambre, cela me permet de faire venir Georges pour qu’il puisse profiter de sa petite femme maintenant prête à tous pour satisfaire le moindre de ses désirs.
Pas question d’aller traîner de l’autre côté de la rue afin d’éviter des complications avec Guy, je suis certaine qu’il m’attend pour trahir son serment et de me reprendre sur la table de cuisine qui aura vu deux générations de ma famille se faire prendre dessus.

Une bonne nuit de repos pour une fois recharge mes batteries en me réveillant et en descendant dans la salle à manger, le café absorbé me donne une forme olympique.
Tous sont prêts pour aller au marché, même Katia est de la sortie.
Quelques minutes avant que nous nous mettions en route, Anne vient prévenir qu’Adonis est en méforme et reste dans sa chambre pour récupérer.
Je propose à ma petite de rester afin qu’elle puisse sortir avec sa fille.
J’ai des papiers à classer et l’occasion de le faire tombe à pic.
Tous partie, je me mets au travail et en vingt minutes tout est expédié.
Je vais pour m’allonger sur la terrasse quand je repense à Adonis.
Comment va-t-il ?
Je décide d’aller le voir, je traverse la rue et j’entre par l’arrière.
Du bruit dans la cuisine m’intrigue, j’avance prudemment pensant qu’Adonis est descendu.
Arrivé à la porte il est bien là, mais a oublié d’être seul.
Lison est avec lui, les seins sur la table la croupe offerte et honorée par la grosse bite noire.

• Vas-y mon grand, encule-moi, je savais que j’aimerais la queue d’un homme noir me prenant comme jamais je n’ai été prise.
Bourre-moi, dépêche-toi, on a peu de temps et je veux jouir de ton chibre tellement gros et long.
Oui je jouis.
Oui reprend ma chatte elle a envie que tu l’éclates.

Adonis poignarde la femelle en la tenant par les hanches et la pénètre avec de grands coups de bite dans la fente de Lison.
D’un seul coup ils prennent ensemble un plaisir qui les propulse au sommet des plaisirs.
Connaissant Adonis, une seule saillie est insuffisante pour assouvir sa soif de jouissance.
Il retourne rapidement la salope qu’il pilonnait par-derrière, il l’a fait s’asseoir les fesses sur la table les jambes pendantes et la reprend par la chatte afin d’éviter de débander.
Sa rapidité enclenche rapidement un nouvel orgasme pour la maman de Katia.

• Tu me tues, jamais je n’aurais pensé être défoncé comme tu la fais, assise sur cette table les cuisses grandes ouvertes.
Mon mari est le seul homme et il m’a toujours baisé dans notre lit…

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